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Aéroports de Paris

Aéroports de Paris détient et exploite les trois principaux aéroports de la région parisienne (Paris-Charles de Gaulle, Paris-Orly et Paris-Le Bourget), qui ont accueilli en 2013 90,3 millions de passagers. En 2013, Aéroports de Paris a compté près de 157 compagnies aériennes clientes et environ 350 villes ont été desservies à partir des aéroports Paris-Charles de Gaulle et Paris-Orly.

Porte d’entrée de la France, première destination touristique mondiale, Aéroports de Paris est un point de connexion incontournable pour le transport aérien international. Grâce à sa localisation géographique, ses infrastructures de premier plan et sa compétitivité, Aéroports de Paris est idéalement positionné pour profiter pleinement de la croissance attendue du trafic aérien mondial à moyen et long termes. Avec l’acquisition en 2012 de 38 % du groupe TAV Airports (qui opère sur 13 aéroports dont notamment celui d’Istanbul Atatürk), Aéroports de Paris figure parmi les principaux groupes aéroportuaires mondiaux avec 37 aéroports sous gestion et près de 200 millions de passagers accueillis.

Une civilisation numérique à créer

On a l’impression que c’était il y a si longtemps… et pourtant, c’est simplement depuis une vingtaine d’années que l’informatisation de la société, le déploiement d’internet et du numérique, ont engendré une révolution que l’on peut comparer, à quelques siècles de distance, à celle entraînée par l’invention de « la fée Électricité » ou l’arrivée du chemin de fer !

La nouvelle aventure du numérique, qui succède à celle de l’électronique, offre d’incontestables opportunités. Notamment pour ces « jeunes pousses » devenues, en une décennie, un nouvel imperium technologique bien décidé à supplanter les anciens fleurons industriels. La conversion au numérique peut aussi être un atout, déterminant, pour des économies en retard d’innovation, pour peu qu’elles soient décidées à effectuer le grand bond innovateur.

Elle a aussi commencé à transformer en profondeur l’éducation. La connaissance n’est plus seulement l’apanage de l’enseignement scolaire. L’éducation à distance, les MOOC, les tablettes et autres smartphones sont autant d’outils mis au service du « savoir » et du « comprendre ». L’information est, elle aussi, à la manœuvre. Presse, édition, audiovisuel, tous sont confrontés à la montée en puissance des acteurs du Net et au bouleversement du paysage médiatique qui en résulte.

C’est cette vaste problématique qui est au cœur des premières Assises Médias / Entreprises qui se tiennent le 3 décembre 2014. Ouvertes à toutes et à tous, au grand public et aux jeunes générations parfois privés de parole, elles permettront de décrypter les atouts, les enjeux, mais aussi les écueils d’une civilisation numérique, désireuse de progrès et de modernité, certes, mais aussi attentive à ne pas se laisser « prendre dans la Toile ».

Prix de la 16e journée du livre d’économie

Le jury de cette 16ème édition est composé de : Odile Benyahia-Kouider, Michel Crépu, Françoise Crouïgneau, Solène Davesne, Sabine Delanglade, Philippe Escande, Thierry Fabre, Sophie Fay, Claire Fournier, Etienne Gernelle, Sylvain Gouz, Anne-Sophie Lechevallier, Patrick Lelong, Catherine Mangin, Serge Marti, Philippe Méchet, Pierre-Henri de Menthon, Gérard Moatti, François d’Orcival, Luce Perrot, Pascal Riché, Brice Teinturier, Yves Thréard et Adrien de Tricornot.

– Le prix du Livre d’Economie à Philippe Aghion, Gilbert Cette, Elie Cohen, pour « Changer de Modèle (Odile Jacob)

– Le Prix lycéen « Lire l’économie » à Jézabel Couppey-Soubeyran et Marianne Rubinstein pour « L’économie pour toutes. Un livre pour les femmes que les hommes feraient bien de lire » (La découverte)

– Un Prix « spécial » à Valéry Giscard d’Estaing pour « Europa – La dernière chance de l’Europe (XO Editions)

Ces prix, organisés par l’association Lire l’économie, fondée et présidée par Luce Perrot, récompensent des ouvrages qui favorisent l’analyse et la réflexion de la pensée économique. Ils ont pour vocation de vulgariser l’économie et de faire œuvre pédagogique.

Le prix du Livre d’Economie et le prix « spécial » sont décernés par un jury de journalistes*, présidé par Marc Ladreit de Lacharrière.

Le prix Lycéens «Lire l’économie » est décerné par 3000 lycéens de classes de premières et terminales de la France entière.

Bilan des 7e JECO de Lyon

Une très forte affluence qui les placent parmi les manifestations économiques incontournables en France. Le fil rouge 2014, « le progrès social a-t-il un avenir ?» a favorisé le dialogue entre des spécialistes de plusieurs disciplines. Ces échanges interdisciplinaires ont su capter l’attention du public dont une large part a participé aux Jéco en streaming ou en différé.

En publiant chaque jour, sur le blog des Jéco, des synthèses et des comptes rendus enrichis d’entretiens vidéo des intervenants, l’équipe de 14 étudiants en journalisme de l’IPJ Dauphine, encadrée par la Vice Présidente de l’Ajef, Françoise Crouïgneau, a participé à la vocation pédagogique de l’événement. Son succès comme l’intense activité sur les réseaux sociaux autour de l’adresse @jeco_lyon et du #JECO2014, ont également permis aux Jéco de se déployer hors les murs.

Avec le blog des « Jéco 2014 », l’Ajef et les organisateurs des Jéco ont renouvelé, pour la cinquième année consécutive, leur initiative pour conjuguer information et formation des journalistes de demain. Une double mission essentielle aux yeux de l’Ajef.

Au-delà des Jéco…

Les Jéco se déclinent aussi tout au long de l’année, avec :

– Les nocturnes et les matinales de l’économie, un cycle de conférences, de débats et de tables rondes, organisé par les Jéco et leurs partenaires au fil de l’année, à Lyon mais aussi à Paris à l’Assemblée nationale.

– Le portail en ligne des Jéco Touteconomie.org pour faciliter l’accès aux analyses et informations économiques.

Prochain rendez-vous : La « nocturne des étudiants en économie », le 11 mars 2015,dans le grand amphi de la Sorbonne. Cette première « nocturne des étudiants de l’économie », en collaboration avec la conférence des doyens, l’Association française de science économique (AFSE), et avec le mécénat de la Bred, placera sur la même estrade, professeurs et étudiants. Cette manifestation propose un format, inédit jusqu’ici, sur le thème « Europe : la croissance perdue ? »