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Retrouvez le compte rendu du petit-déjeuner débat sur le Brexit avec Jean-Michel Six, chef économiste chez S&P Global Ratings, et une note sur le commerce extérieur et les faiblesses structurelles françaises

Petit déjeuner du 12 juin 2017 avec Jean-Michel Six, Chef économiste chez S&P Global Trading

. Un an après le Brexit, le Royaume Uni va « entrer dans le dur » …et les difficultés

. La croissance française devrait atteindre 1,7% à 1,8% en 2017 contre 1,1% l’an dernier

. Le contexte électoral en France et en Allemagne renforce l’optimisme pour la zone euro

Après le référendum du 23 juin 2016 en faveur d’une sortie de l’Union Européenne,

l’économie britannique a continué à enregistrer d’assez bons résultats au 2ème semestre 2016 (une année qui s’est conclue sur une croissance de 2%) et durant les premiers mois de 2017, constate Jean-Michel Six, Chef économiste chez S&P Global Trading. Elle a bénéficié de deux facteurs exceptionnels, la dévaluation de 20% de la livre sterling qui a rendu la monnaie locale très compétitive, tout en continuant à bénéficier du libre accès au marché européen. Mais, maintenant que la sortie de l’Union est officiellement actée, le pays « va entrer dans le dur » : l’inflation est réapparue (elle s’approche de 3%) mordant d’autant plus sur le pouvoir d’achat que les salaires n’évoluent pas en raison du grand nombre d’emplois précaires ; les premiers signes de ralentissement de la demande intérieure apparaissent ; une grande incertitude pèse sur les investissements directs étrangers qui représentent 6% du PIB britannique et, dès à présent, le secteur immobilier subit des transferts vers certains pays européens. Avec, en toile de fond « une crise politique majeure » après l’échec du Premier Ministre aux élections législatives anticipées du 8 juin, doublée d’une situation sociale instable au regard de la nature des emplois créés, trop souvent temporaires et partiels, notamment sous forme des fameux « contrats 0 heure ». Une situation qui ne plaide pas forcément pour un « soft brexit » prévient Jean-Michel Six, Theresa May peut être amenée à défendre une ligne dure pour renforcer sa position, très affaiblie, auprès de son gouvernement

Les négociations sur la sortie de l’UE, qui commenceront officiellement le 19 juin, seront difficiles, estime le chef éonomiste. On ne peut écarter l’hypothèse d’un « non accord » qui inciterait le Royaume-Uni à opter pour une dérégulation complète de ses activités économiques et à se transformer en « Singapour sur Tamise ». Il est trop tôt pour savoir si une partie des activités de la City sera relocalisée dans l’Union Européenne et, si oui, qui va en bénéficier : Paris, Francfort, Dublin, Luxembourg?. Face à ces inconnues, la situation en Europe continentale apparaît plus favorable. Et « les deux principaux pays de la zone euro, l’Allemagne et la France, devraient sortir renforcés en 2017 sur le plan économique, politique et institutionnel » dans la perspective d’une majorité parlementaire en France pour le président Emmanuel Macron, à l’issue des législatives, et d’une victoire électorale en Allemagne pour Angela Merkel en septembre prochain. Les politiques économiques qui devraient en découler, notamment en France, justifient le plus grand optimisme de l’agence de notation S&P, pour l’Hexagone mais aussi pour la zone euro en général.

Après un taux de croissance encore modeste l’an dernier (1,1%) le PIB français devrait atteindre 1,7% cette année, voire 1,8%, estime Jean-Michel Six. « Un net retour de la confiance est perceptible depuis quelques semaines en France mais aussi dans la zone euro» explique-t-il. Mais il faut tenir compte du décalage dans le temps entre le moment de l’expression politique, issue des urnes, et celui où ses effets se font sentir sur l’édifice économique. D’où la crainte de ne pas voir le taux de chômage français descendre à 7,5% de la population active avant un « certain temps ». Un temps difficile à évaluer plus précisément. Mais pour ce qui est des autres pays européens, l’Italie continue à être « un facteur de risque important ». 

SM

Retrouvez en cliquant ici l’étude de S&P sur le commerce extérieur.

Retrouvez en cliquant ici les précédents petits-déjeuners.

AJEF – Cycle de formation avec le Conseil d’orientation des retraites (COR) – Prochaine session le 2 juin

Parce que le sujet de la retraite occupe toujours une place importante dans l’actualité et les débats politiques, le Conseil d’orientation des retraites (COR), organise, pour les adhérents de l’AJIS et de l’AJEF, un cycle de formation sur mesure afin de permettre aux journalistes de mieux comprendre l’architecture et le fonctionnement du système de retraite français, d’en décoder les grands enjeux et d’identifier les pistes de réforme éventuelle. Ce cycle de formation, organisé en huit sessions, sera l’occasion de poser toutes vos questions aux experts du COR qui ont accepté de se mettre à disposition pour aborder les sujets d’actualité.

Les sessions seront organisées sous la forme de présentations par les membres du secrétariat général du COR suivies d’un débat avec les participants.

Le 2 juin (8h30-10H30) – Public-privé : les fonctionnaires sont-ils vraiment avantagés ? 

La première heure sera consacrée à cette thématique : Les différences de règles entre les régimes ; les rapprochements déjà entrepris avec les réformes ; la réversion et les droits familiaux ; les régimes spéciaux ; vers un alignement des règles du public sur celles du privé ?
Dans un second temps, Pierre-Louis Bras et Yves Guégano, respectivement Président et Secrétaire général du COR, se tiendront à la disposition des journalistes présents pour faire un point technique sur les modes de calcul des pensions (annuités, points, comptes notionnels) et le bilan de ce cycle de formation.

Le programme complet des sessions est à retrouver ici.

Aspects pratiques : Il est préférable d’assister aux trois premières sessions généralistes, afin de pouvoir suivre aux mieux les sessions thématiques, qui sont davantage « à la carte ». Les inscriptions seront prises par l’AJEF pour chaque session auprès de Nadine Decorce, assistante de l’association, par mail à ajefassociation@gmail.com

Mouvements et nominations de mai 2017

Rémy Dessarts est désormais rédacteur en chef de la rubrique économie du Journal du Dimanche. Il était auparavant producteur pour Tempora.prod, le studio de production en charge des publications du groupe Lagardère. Il conserve son poste.

Frédéric Taddéi succède à Frédéric Beigbeder à la rédaction en chef du magazine Lui.

Frédérick Cassegrain a quitté son poste de MANAGING directeur du magazine Marianne. Il devient directeur du journal de presse quotidienne régionale Paris-Normandie. Katherine Menguy, managing directrice adjointe a quitté le magazine ainsi que Joseph Macé-Scaron, qui était directeur éditorial.

Catherine Roig est directrice éditoriale de l’hebdomadaire Version Femina. Elle succède à Constance Poniatowski. Catherine Roig quitte son poste de rédactrice en chef de la rubrique « Lifestyle et vie privée » du magazine Elle.

Julien Mivielle est nommé correspondant dans le domaine de l’énergie à l’AFP, à Paris. Il quitte son poste au bureau international, et son poste de secrétaire de rédaction au bureau économie.

Les lauréats du Prix du Meilleur Article Financier 2017 sont, dans la catégorie « Jeunes Journalistes », Marie Dancer (adjointe au chef du service économie de La Croix; membre du bureau de l’Ajef) et dans la catégorie « Journalistes Confirmés » Pascal Riché (Grand Reporter au Nouvel Observateur)

La Banque de France, 
Lire l’Economie, 
et l’Ajef

Marie Dancer et Pascal Riché remportent le Prix du Meilleur Article Financier 2017

Anne Le Lorier, premier sous-gouverneur de la Banque de France, a remis, vendredi 9 juin 2017, le Prix du Meilleur Article Financier à Marie Dancer et Pascal Riché. Organisé en partenariat avec l’A.J.E.F. (Association des Journalistes Économiques et Financiers) et Lire l’Économie, avec le soutien de la Banque de France, ce prix récompense deux journalistes de la presse écrite pour une série d’articles, une enquête ou une analyse particulièrement pertinente. Deux catégories étaient ouvertes : « Jeunes journalistes » (moins de 40 ans) et « Journalistes confirmés » (plus de 40 ans).

Après appel à candidatures auprès des rédactions, 62 journalistes (35 dans la catégorie « Jeunes journalistes » et 27 dans la catégorie « Journalistes confirmés ») avaient envoyé leurs écrits (162 articles). Au terme de trois réunions, le jury a établi le palmarès suivant :

Dans la catégorie « Jeunes journalistes », le prix a été décerné à Marie Dancer, journaliste à « La Croix », pour ses articles : « Theresa May cherche encore sa voie », « La fébrilité s’accroît en Grande-Bretagne », « La mobilité, un atout pour l’emploi ? ».

Étaient finalistes dans la même catégorie :

  • Clément Lacombe, Le Point,
  • Guillaume Maujean, Les Échos.
    Dans la catégorie « Journalistes confirmés », le prix a été décerné à Pascal Riché, journaliste à « L’Obs », pour son article « La Sardex, la petite monnaie qui monte, qui monte ». Étaient finalistes dans la même catégorie :
  • Éric Albert, Le Monde,
  • Solène Davesne et Cécile Maillard, L’Usine Nouvelle.Le soutien de la Banque de France au Prix du Meilleur Article Financier marque l’engagement de l’institution dans la diffusion des analyses économiques et financières auprès du grand public.

photo prix article financier

Pour ceux qui n’ont pas pu assister à l’atelier du 23 mai sur « Le revenu universel, une piste pour les réformes ou un leurre? » ou souhaitent retrouver la note de l’OCDE, cliquer ici

La polémique autour du « revenu universel », ou « revenu de base », a un avantage majeur: éclairer les problèmes que posent de plus en plus les formes traditionnelles de garanties de ressources;  et mettre en évidence les lacunes des mécanismes sociaux qui dépendent largement des revenus ou de la situation de l’emploi. La Finlande en teste déjà l’intérêt et d’autres pays prévoient des essais, comme les Pays-Bas et le Canada. 

Peut-on, doit-on, financer un transfert public universel ? Qui seront les gagnants et les perdants ? Un tel système permettrait-il de réduire la pauvreté ou aboutirait-il à une nouvelle forme de trappe à pauvreté?
Stefano Scarpetta, directeur de l’emploi, du travail et des affaires sociales de l’OCDE  a décrypté la note d’information de l’OCDE consacrée à ce sujet brûlant et complexe que vous pouvez retrouver ici

Pour toute précision, merci de contacter Herwig Immervoll, (01 45 24 92 14), James Browne(01 85 55 60 86) ou Michael Förster (01 45 24 92 80) de la division de l’Emploi et des revenus de l’OCDE »
Vous pouvez, également, trouver d’autres informations sur ce sujet grâce au lien 

http://www.oecd.org/fr/emploi/future-of-work.htm

 

Retrouvez tous les ateliers de l’OCDE ici.

Compte-rendu du petit-déjeuner avec Michel Combes, directeur général d’Altice et Michel Paulin, directeur général de SFR sur le thème « Altice-SFR : après le foot, le rêve américain ? »

 Petit déjeuner Ajef du 17 mai 2017 avec

Michel Combes, directeur-général d’Altice et Michel Paulin, directeur-général de SFR

 

. « Nous restons le meilleur acteur télécoms dans les pays où nous intervenons »

. « Le sport et le divertissement correspondent à l’attente de nos clients »

. « Notre niveau d’endettement est cohérent avec ce que nous sommes »

 

Mardi 23 mai, SFR est devenu Altice. L’annonce a été faite à New York où le groupe vient de faire son entrée en bourse. Une seule marque pour clarifier l’offre commerciale, telle est la volonté des dirigeants de l’entreprise. Quelques jours avant cette annonce, Michel Combes, directeur-général d’Altice et Michel Paulin, directeur-général de SFR, répondaient aux questions des membres de l’Association des Journalistes Economiques et Financiers.

La stratégie de convergence dans laquelle s’est engagée SFR, en appui sur trois piliers – l’investissement dans les réseaux, la mutation vers le digital et l’attention apportée au contenu –  donne de bons résultats, a affirmé Michel Combes, directeur-général d’Altice et PDG de SFR, lors du petit déjeuner Ajef. Il a rappelé que l’objectif d’Altice, maison-mère de l’opérateur SFR, était de permettre à l’opérateur télécoms de disposer du « meilleur réseau » permettant de fidéliser les clients existants et de leur offrir de nouveaux services. En 2016, SFR a investi quelque 2 milliards d’euros dans les réseaux.

« Nous restons le meilleur acteur télécoms dans les pays où nous intervenons », a-t-il affirmé tandis que, de son coté, Michel Paulin, directeur-général de SFR insistait sur le fait que l’opérateur avait rattrapé son retard sur le territoire français, aussi bien pour le fixe que pour le mobile.  A ce sujet et concernant le différend qui oppose SFR à Orange, via les tribunaux, le directeur-général de SFR a estimé que les deux parties devaient « revisiter » l’accord initial conclu afin d’étendre la couverture du territoire et qui, pour l’heure, ne répond pas aux attentes de SFR.

Interrogé sur le sport et le divertissement, l’axe de développement (outre la presse) sur lequel parie Altice-SFR, Michel Combes explique que ces secteurs « correspondent à l’attente de nos clients » et qu’il faut continuer à les enrichir. Pour ce qui est du sport, SFR a acquis les droits de la Ligue des champions et de la Ligue Europa, en payant 370 millions d’euros pour pouvoir diffuser sur sa chaîne SFR Sport les matchs des grandes équipes européennes de football, au détriment de ses concurrents, Canal + et BeIN. Cela suppose de gagner 400 000 nouveaux clients pour couvrir les frais engendrés par ces droits audiovisuels, admet-il.

Dans le même temps, l’ancien patron d’Alcatel-Lucent (où son bonus départ, en 2015, avait suscité une vive polémique) confirme son intention de permettre à SFR de « passer à la vitesse supérieure » dans le cinéma et les séries télévisées via une nouvelle chaîne, SFR Studio à partir de laquelle les clients de l’opérateur pourront accéder à 400 films et séries par an.

Ces développements et investissements sur de nouveaux marchés supposent des financements importants alors que l’endettement du groupe reste élevé, autour de 50 milliards d’euros malgré des refinancements réguliers, le dernier en date, de 3,4 milliards d’euros ayant été effectué en mars dernier.  « Notre niveau d’endettement reste conforme à ce que nous sommes », assurent les dirigeants de SFR, précisant qu’il est proche de celui de leurs concurrents notamment américains. De plus, ajoutent-ils, il est organisé « en silos » de façon à cloisonner les activités et les risques éventuels qui pourraient survenir pour chacune d’entre elles.

Interrogé sur l’intention prêtée à Altice de créer une marque unique pour l’ensemble des filiales et activités du groupe, Michel Paulin n’a pas exclu cette hypothèse, ajoutant « qu’il faudra la conduire avec beaucoup de délicatesse de façon à ne pas perturber les clientèles ». Quelques jours plus tard, Patrick Drahi, le fondateur du groupe, annonçait le 23 mai à New York que, d’ici à l’été 2018, la marque unique Altice remplacerait toutes les marques actuelles du groupe à l’échelon mondial y compris SFR pour la France. A l’exception de l’activité médias en France (BFM, RMC, Libération, L’Express, i24 News…), quelques marques au Portugal et Next TV en Israël. Cette décision vise à offrir une meilleure visibilité internationale au groupe et à ses quelque 50 000 salariés dans le monde, à l’approche de l’introduction à Wall Street de ses activités aux Etats-Unis, lesquelles pourraient contribuer, à terme, jusqu’à la moitié des revenus d’Altice dans sa nouvelle configuration.

S.M.

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Philippe Roy-Contancin nous a brutalement quittés, mercredi 19 avril. Il avait 61 ans.

Philippe Roy-Contancin nous a brutalement quittés, mercredi 19 avril. Il avait 61 ans.
Ses confrères, dans les différentes rédactions de RFI, RMC, RTL, où il a passé 15 ans, et dernièrement franceinfo:, se souviendront longtemps de « Royco », grand et longiligne reporter, aussi civil qu’iconoclaste et impertinent dans ses questionnements.
Les chefs d’entreprises, comme les partenaires sociaux, appréciaient et redoutaient ses interrogations sans détours ni flagornerie.
Philippe était respecté comme un excellent spécialiste des questions énergétiques et des relations sociales, mais aussi pour sa pratique, sans ego, du métier et l’attention qu’il portait aux interrogations de l’auditeur.

Sa dernière chronique  «  C’est mon argent » a été diffusée lundi 17 avril sur franceinfo:
http://www.francetvinfo.fr/replay-radio/c-est-mon-argent/
Christian Menanteau
Editorialiste économique, RTL

Mouvements et nominations d’avril 2017

Godfrey Deeny devient rédacteur en chef du magazine en ligne Fashion Network. Il quitte la rubrique mode du journal Le Figaro.

Myriam Encaoua est journaliste au service politique du quotidien Le Parisien. Elle a quitté son poste de reporter au sein de la rédaction de CNews.

Mélanie Nauche intègre la rédaction de Vogue Paris, au sein des rubriques beauté, bijoux et montres.

Jean-Philippe Lacour est désormais reporter pour l’Agence France Presse à Francfort. Il couvre la Banque centrale européenne et les sujets concernant la banque et les assurances. Il était auparavant correspondant du journal Les Echos à Francfort. Benoit Toussaint qui était journaliste économique et financier pour l’AFP à Francfort, couvre désormais la Banque de France, les banques et assurances à Paris.

Brune de Margerie est rédactrice en chef mode du mensuel féminin Elle. Elle était auparavant rédactrice en chef de la rubrique Bijoux et montres du magazine Vogue Paris.

Pierre Orluc devient rédacteur en chef du bimensuel Moto Journal. Il en était auparavant le rédacteur en chef adjoint. Il remplace David Dumain.

Otman Meriche est directeur « managing » pour les services desk de l’AFP.

Julian Schorpp a quitté le site CONTEXTE. Il en était correspondant à Bruxelles, en charge de l’énergie dans l’Union européenne.

Jeudi 20 avril (8h30) – Petit-déjeuner avec André Yché, de la SNI – « Logement social en France : comment résoudre l’équation impossible ? »

L’Ajef vous convie à un petit-déjeuner avec :

André Yché

Président du Directoire de la SNI
(filiale immobilière de la CDC)

sur le thème :

 » Logement social en France : comment résoudre l’équation impossible ? « 

Ancien pilote militaire et directeur de cabinet adjoint du ministre de la Défense (Alain Richard), André Yché préside depuis 1999 la SNI, filiale immobilière de la CDC.

Avec plus de 90 000 logements sous gestion, il est l’un des plus grands spécialistes français du logement social, sujet sur lequel il porte une vision particulièrement originale et tranchée.

Il nous donnera ses recommandations, adressées aux candidats, pour résoudre les problèmes de logement en France.

Il évoquera également ses projets de développement de la SNI dans les pays émergents, à l’heure de la métropolisation et du lancement, courant avril, de son fonds Hemisphère, le plus important « social impact bond » jamais lancé dans le monde, qui servira à financer des hébergements d’urgence en France.

Inscription obligatoire qui devra nous parvenir au plus tard le mardi 18 avril à 17h à l’adresse mail suivante : ajefassociation@gmail.com

au Procope – 13, rue de l’Ancienne Comédie – 75006 Paris

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Tarification

Participation : Journalistes adhérents en rédaction : 25 euros – Journalistes adhérents freelance : 15 euros

Non adhérents : 50 euros

Merci de bien vouloir préparer à l’avance votre chèque ou l’appoint en espèces.

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Le bureau issu du vote de l’Assemblée générale du 29 mars a élu président de l’Ajef Emmanuel Cugny, choniqueur-éditorialiste économique à France-info Il succède à Serge Marti qui devient président honoraire et continue de siéger au bureau

Emmanuel CUGNY a été élu président de l’Association des journalistes économiques et financiers (AJEF).

Lors de son Assemblée générale annuelle, le mercredi 29 mars 2017, le bureau de l’Association des journalistes économiques et financiers a élu président de l’Ajef, Emmanuel Cugny, journaliste / chroniqueur-éditorialiste économique, à France Info. Il succède à Serge Marti, arrivé au terme statutaire de son mandat de président. Il devient président honoraire et continue à siéger au bureau.

Ce nouveau bureau se compose également de :

* Francis Brochet (journaliste au bureau parisien des Quotidiens régionaux du Groupe EBRA) ; Françoise Crouïgneau (responsable du site Ajef.net et des Ateliers de l’OCDE) et Christian Ménanteau (éditorialiste à RTL) : vice-présidents, réélus.
* Philippe Plassart (rédacteur en chef au Nouvel Economiste) : secrétaire général, réélu.

* Cyrille Lachèvre (journaliste à L’Opinion) : trésorier, réélu. Ont également été élus ou réélus :

* Ludovic Arbelet (rédacteur en chef adjoint du quotidien en ligne actuel-expert-comptable), réélu * Marie Dancer (adjointe au chef du service Economie à La Croix), élue
* Philippe Escande (éditorialiste économique au Monde), réélu
* Hervé Godechot (rédacteur en chef du service économie et sociale à France 3), élu

* Richard Hiault (grand reporter aux Echos), élu
* Serge Marti (contributeur aux activités Hors-Médias Le Monde), réélu.

Contact :
Nadine Decorce, assistante de l’Ajef
Adresse : Ajef – 12 rue Vivienne – 75002 Paris
T. 01 53 18 97 73 – Mail : ajefassociation@gmail.com