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Académie Notre Europe Institut Jacques Delors : inscription à la promo 2018-2019 avant le 15 septembre

L’Institut Jacques Delors ouvre les inscriptions pour la deuxième année de l’Académie Notre Europe, un parcours citoyen à destination des jeunes (pour qui il est gratuit) de 18 à 30 ans, et des journalistes, de tous horizons, comprenant des conférences, des rencontres, des séminaires, des cafés-culture, des déjeuners-débats, des ateliers et des voyages, en présence de grands témoins, praticiens et experts de la construction européenneL’Académie est un lieu d’échange et de débat, qui respecte la pluralité des opinions, y compris les plus critiques à l’égard de l’UE.

 

Plus qu’une formation, l’Académie Notre Europe se veut, grâce à la participation active de ses membres, un vivier d’idées nouvelles pour l’Europe, loin de la bulle bruxelloise. C’est pour cela que nous sélectionnons des jeunes et des journalistes d’horizons divers, aux parcours les plus variés, sans condition de diplôme ni de connaissances spécifiques sur les affaires européennes.

 

Les sessions ont lieu un seul vendredi par mois à Paris, de novembre à juin, ce qui permet à celles et ceux qui suivent une autre formation ou qui travaillent, de suivre plus aisément les travaux de l’Académie.

 

 

La première année de l’Académie, qui vient de se clore, a été riche en échanges et en idées nouvelles. Une trentaine de jeunes et une dizaine de journalistes aux profils très divers, ont eu l’opportunité de débattre avec des experts et des décideurs au cœur des politiques européennes et nationales dont :

 

Enrico Letta, ancien président du Conseil italien, doyen de l’École des affaires internationales de Sciences Po, président de l’Institut Jacques Delors

 

Pascal Lamy, ancien directeur général de l’OMC, président emeritus de l’Institut Jacques Delors

Herman van Rompuy, premier président du Conseil européen et du sommet de la zone euro

 

Franz Neueder, représentant Europe – Allemagne

 

Michael Roth, secrétaire d’État aux affaires européennes – Allemagne

 

Nathalie Loiseau, secrétaire d’État aux affaires européennes – France

 

Christoph Wolfrum, négociateur du Brexit – Allemagne

 

Franziska Brantner, députée BÜNDNIS 90/DIE GRÜNEN au Deutscher Bundestag

 

Pervenche Berès, groupe de l’Alliance progressiste des socialistes et démocrates

 

Laszlo Andor, ancien commissaire européen à l’emploi

 

Olivier Bailly, chef de cabinet de Pierre Moscovici

 

Joaquin Almunia, ancien Vice-Président de la Commission européenne

 

Jonathan Faull, ancien Directeur général de la Commission européenne, ancien chef de la task force chargée des questions stratégiques liées au référendum britannique.

 

Et beaucoup d’autres.

 

 

Pour tout renseignement supplémentaire ou demande d’interview avec la directrice de l’Académie, Imola Streho, ou l’un des jeunes ou journalistes participants, vous pouvez me contacter au 0033(0)6 84 95 39 48 ou sur conti@delorsinstitute.eu

 

 


 

 

 

Bertille Bayart (Le Figaro) et Guillaume Maujean (Les Echos) lauréats du Prix du Meilleur Article Financier 2018

Sylvie Goulard, sous-gouverneure de la Banque de France, a remis, lundi 25 juin 2018, le Prix du Meilleur Article Financier à Bertille Bayart et à Guillaume Maujean.

 

Organisé en partenariat avec l’A.J.E.F. (Association des Journalistes Économiques et Financiers) et Lire l’Économie, avec le soutien de la Banque de France, ce prix récompense deux journalistes de la presse écrite pour une série d’articles, une enquête ou une analyse particulièrement pertinente. Deux catégories étaient ouvertes : « Jeunes journalistes » (moins de 40 ans) et « Journalistes confirmés » (plus de 40 ans).

 

Après appel à candidatures auprès des rédactions, 50 journalistes (39 dans la catégorie « Jeunes journalistes » et 11 dans la catégorie « Journalistes confirmés ») avaient envoyé leurs écrits. Au terme de trois réunions, le jury a établi le palmarès suivant :

 

 

Dans la catégorie « Jeunes journalistes », le prix a été décerné à Guillaume Maujean, journaliste aux Échos, pour son article : « Ayn Rand, la libérale capitale ».

 

Étaient finalistes dans la même catégorie :
–  Julie de La Brosse, L’Express
–  Marc Vignaud, Le Point

 

 

Dans la catégorie « Journalistes confirmés », le prix a été décerné à Bertille Bayart, journaliste au Figaro, pour son article « Ce que la plage de La Baule dit de la France ».

 

Étaient finalistes dans la même catégorie :
–  Véronique Chocron, Le Monde
–  Olivier Decarre, L’argent et vous

 

 

Le soutien de la Banque de France au Prix du Meilleur Article Financier marque l’engagement de l’institution dans la diffusion des analyses économiques et financières auprès du grand public.

Mouvements et nominations en mai 2018

Benjamin Vincent a quitté Le Figaro où il était journaliste vidéo, pour se consacrer à son rôle de rédacteur en chef de la chaîne Ouatch TV qu’il a lancée en 2013.

 

 

John Reichenbach est désormais rédacteur-en-chef Nord Pas-de-Calais Editor pour France 3. Il était auparavant reporter pour la chaîne.

 

 

Philippe Gitton est désormais correspondant à Mézières-en-Brenne pour le quotidien La Nouvelle République du Centre-Ouest. Il succède à Patrick Besnard et couvrira les territoires de Mézières-en-Brenne, Azay-le-Ferron, Obterre, Paulnay, Saint-Michel-en-Brenne, Sainte-Gemme et Saulnay et Villiers.

 

 

Dominique Foing devient correspondant à Saint-Jean-du-Gard pour Midi Libre tandis que Gilbert Vidal est nommé correspondant à Nissan-lez-Ensérune.

 

 

France TélévisionsRadiotelevisione Italana (RAI) et Zweites Deutsches Fernsehen (ZDF) vont collaborer pour produire des fictions télévisées, dans le cadre d’une alliance européenne. L’un des premiers projets sera une fiction d’espionnage, « Mirage », dont le tournage commencera en 2019.

Lundi 25 juin, de 8h30 à 10h. Dernière ligne droite avant l’élection à la présidente du Medef : les deux candidats encore en lice répondent aux membres de l’Ajef. Avec Geoffroy Roux de Bézieux et Alexandre Saubot

Chère adhérente, cher adhérent,

Vous êtes cordialement invités à un petit-déjeuner

« Election à la présidence du Medef » :

 

 

Le lundi 25 juin de 8h30 à 11 heures

 

 

Olivier Klotz ayant rallié Alexandre Saubot, le scrutin du 4 juillet se résumera à un duel entre

 

Geoffroy Roux de Bézieux

 

et

 

Alexandre Saubot

 

 

Dans la dernière ligne droite, une semaine avant le scrutin, les deux candidats restant en lice répondront aux questions des membres de l’Ajef.

 

 

 

 

Inscription obligatoire avant vendredi 22 juin à 11h à l’adresse mail suivante : ajefassociation@gmail.com

 

 


 

ATTENTION

 

Toute annulation ou absence non signalée, avant vendredi 22 juin à 13 h, sera facturée automatiquement à l’inscrit non présent.

(Les collations annulées sont malgré tout facturées par notre prestataire de service, ce qui représente une perte sèche pour l’association)

 

Tarification

 

Participation : Journalistes adhérents en rédaction : 25 euros

Journalistes adhérents freelance : 15 euros

Non adhérents : 50 euros

 

Merci de bien vouloir préparer à l’avance votre chèque ou l’appoint en espèces.

SAVE THE DATE : Remise du Prix du meilleur article financier 2018

Monsieur François Villeroy de Galhau, Gouverneur de la Banque de France, Lire l’Economie et l’Ajef ont le plaisir de vous convier le lundi 25 juin 2018 à 18h30 à la Banque de France (31 rue Croix des Petits Champs – 75001 Paris) à la cérémonie de remise des Prix du Meilleur Article Financier.

 

Les Prix seront remis par Madame Sylvie Goulard, sous-gouverneure de la Banque de France et Monsieur Emmanuel Cugny, Président de l’Ajef et Président du jury.

 

Nous vous remercions  de bien vouloir réserver d’ores et déjà cette date dans votre agenda.

 

Pour vous inscrire, merci de cliquer ici (dans la limite des places disponibles).

 

Au très grand plaisir de vous retrouver le 25 juin prochain.

Le Bureau de l’Ajef

 


 

Jury du Prix du meilleur article financier 2018:

 

Président du Jury :
– Monsieur Emmanuel Cugny, journaliste, France Info, Président, AJEF
– Madame Sylvie Goulard, sous-gouverneure de la Banque de France, Chargée de l’International

 

Vice-Présidente :
– Madame Françoise Crouïgneau, Vice-Présidente de l’AJEF

 

Secrétaire Générale :
– Madame Luce Perrot, Présidente de l’association Lire l’Economie

 

Membres du jury :
 Monsieur Yann Algan, Directeur de l’École d’Affaires Publiques, Sciences Po Paris
– Madame Agnès Bénassy-Quéré, Économiste, professeure, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Chercheur, PSE, Présidente de
l’AFSE (association française de sciences économiques)
– Monsieur Philippe Chalmin, Économiste, Professeur à l’Université Paris-Dauphine
 Madame Annie Cot, Professeure de sciences économiques et de philosophie de l’économie, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
– Monsieur Philippe Martin, Professeur, Sciences Po, Chercheur, CEPR, Président-délégué, Conseil d’Analyse Économique
 Monsieur El Mouhoub Mouhoud, Professeur, université Paris-Dauphine
– Monsieur Olivier Pastré, Économiste
– Monsieur Xavier Ragot, Président de l’OFCE (Observatoire français des conjonctures économiques)
 Madame Christine Rifflart, Économiste, Sciences Po
– Madame Claudia Senik, Professeure, PSE, Université Paris-Sorbonne, CNRS, ENS, EHESS,
– Monsieur Alain-Gérard Slama, Essayiste, Éditorialiste

 

Représentants de la Banque de France :
– Monsieur Marc-Olivier Strauss-Kahn, Directeur général, en charge des Études et des Relations internationales
 Monsieur François de Coustin, Conseiller Patrimoine, Histoire et Mécénat auprès du Gouverneur

 

Suivi Lire l’Economie :
– Madame Délicia Endamne-Morales
01 40 63 81 88 – livrepolitique1@assemblee-nationale.fr

 

 


 

Rappel des modalités de candidature

 

Il nous semble important de récompenser et de valoriser le travail des journalistes qui permet aux citoyens de mieux appréhender un domaine jugé souvent lointain, et difficile à comprendre ; un domaine en face duquel ils se sentent insuffisamment informés, voire désarmés, alors qu’il est omniprésent.

 

Pour l’édition 2018, le Prix récompensera deux journalistes de la presse écrite française, pour des articles, enquêtes, analyses ou chroniques :

  • un(e) dans la catégorie « jeunes journalistes » (moins de 40 ans)
  • un(e) dans la catégorie « journalistes confirmés » (plus de 40 ans)

 

Chacun des prix est doté de 5 000 euros.

 

Ces articles ont été publiés dans la presse française, tous supports confondus, entre le 1er mai 2017 et le 31 janvier 2018.

 

Il s’agit de distinguer des articles particulièrement pertinents pour une meilleure compréhension de la sphère économique et financière. Les articles doivent comporter une analyse étayée, une ambition pédagogique, être rigoureux, attrayants et originaux.
Chaque journaliste ne pouvait soumettre plus de cinq articles. Tout article signé par plus de deux auteurs a été éliminé.

Contre la proposition de loi fake news : il est encore temps !

Contre la proposition de loi fake news : il est encore temps !

 

 

La proposition de loi relative à la lutte contre les fausses informations doit permettre à la justice de faire cesser en référé la diffusion de fausses informations durant les périodes pré-électorales et électorales pour des scrutins nationaux.

 

Les journalistes ne sont évidemment pas opposés à l’objectif de lutte contre la manipulation de l’information mais ils alertent la ministre de la culture sur l’imprécision d’un texte à double tranchant.

 

Cette proposition de loi peut se révéler dangereuse pour la liberté d’expression car elle est au fond impraticable : quelle que soit la définition de la « fausse information », celle-ci est évidemment trop vague et incertaine. Une nouvelle définition, proche de la tautologie (« toute allégation ou imputation d’un fait, inexacte ou trompeuse, constitue une fausse information ») a d’ailleurs été arrêtée hier soir, jeudi 7 juin 2018, par les députés en séance. Mais la ministre elle-même a reconnu que ce texte devrait être retravaillé, et qu’une nouvelle définition serait proposée au Sénat. C’est la preuve des difficultés à circonscrire cette notion.

 

Par ailleurs, l’utilisation du référé pour des matières qui nécessitent bien souvent une enquête minutieuse paraît tout aussi illusoire. Le texte ne précise pas davantage qui devra apporter la preuve de la fausseté de l’information. De plus, la procédure contourne le droit de la presse et les garanties procédurales prévues par la loi de 1881.

 

Le gouvernement assure que ce texte ne portera pas atteinte à la liberté d’expression et à la liberté de la presse mais la proposition de loi reste très confuse. Contrairement aux propos de la ministre, les médias professionnels ne sont pas exclus du texte, dès lors qu’ils sont en ligne. Une simple notification push pourrait être considérée comme une diffusion de « manière automatisée par le biais d’un service de communication au public en ligne », rentrant dans le champ de la loi.

 

Quelles garanties pour le travail des journalistes dans ces conditions ? Cette crainte est accentuée par l’annonce de la ministre de la culture du lancement d’une « plateforme commune de décryptage de fausses nouvelles » sur le site de franceinfo. Est-ce vraiment à un ministre d’annoncer cela ?

 

Les députés n’ont pas terminé l’examen de la proposition de loi, il est encore temps d’abandonner le texte tel que proposé aujourd’hui.

 

 

 

L’Association de la presse judiciaire (APJ), des journalistes de l’information sociale (AJIS), des journalistes de l’énergie (AJDE), de l’environnement (AJE), des journalistes européens (AJE), des journalistes économiques et financiers (AJEF), des journalistes médias (AJM), des journalistes agricoles (AFJA) et des journalistes de sécurité (AJS).

Lundi 18 juin à 8h30 – « L’Europe dans tous ses Etats : nouvelles crises, nouveaux rebonds ? » avec Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI, et Jean Pisani-Ferry, professeur à Sciences Po et à la Hertie School of Governance

L’AJEF vous convie à un petit-déjeuner sur le thème :

 

 

L’Europe dans tous ses Etats : nouvelles crises, nouveaux rebonds ?


Avec

 

Ambroise Fayolle, vice-président de la Banque européenne d’investissement (BEI)

 

et


Jean Pisani-Ferry, professeur à Sciences Po et à la Hertie School of Governance de Berlin

 

.

Le Lundi 18 juin de 8h30 à 10H,

Au Procope – 13, rue de l’Ancienne Comédie – 75006 Paris

 

Après le Brexit, la montée des populismes et des extrêmes -notamment en Italie- aggravent les vulnérabilités de l’Union européenne. Et les risques de crises majeures au sein de la zone euro.

 

Le pire est-il à venir ou les menaces pourraient-elles conduire à l’un de ces rebonds dont l’Union a le secret ? Face aux dangers, le couple franco-allemand peut-il surmonter ses divergences et donner une nouvelle impulsion à l’Europe économique et monétaire dont les insuffisances fragilisent la construction européenne et alimentent le désamour d’Europe des opinions publiques ?

 

Sur le terrain, l’Union n’est, certes, pas inactive. Accueilli avec scepticisme, en 2015, le Plan Juncker, dont la BEI est le bras financier, atteindra son objectif en juillet: 315 milliards d’euros de crédits -dont la France est la première bénéficiaire- accordés pour des investissements, notamment en faveur du numérique et des PME innovantes. La Commission vient de proposer d’amplifier cette méthode: « Invest EU », prévoit de porter cette puissance de feu à 650 milliards d’euros entre 2021 et 2027.

 

Cette proposition a-t-elle une chance d’être acceptée par les 27 ? Est-elle crédible et à la hauteur des enjeux d’un renouveau de croissance et d’une meilleure compétitivité de l’Europe face aux Etats-Unis et à la Chine ?

Le 14 juin à 12h30 « L’ascenseur social en panne ? Comment promouvoir la mobilité sociale » avec Gabriela Ramos, directrice de cabinet, sherpa au G20 et Stefano Scarpetta, directeur, Direction de l’emploi, du travail et des affaires sociales

« L’ascenseur social en panne ?
Comment promouvoir la mobilité sociale »

 

Jeudi 14 juin 2018, 12h30 à l’OCDE, 2 rue André Pascal, 75016 Paris

 

 

Lorsque les catégories modestes de la population ont peu de chances de progresser socialement et économiquement, et que les élites trustent les premiers rôles, l’ascenseur social est en panne. C’est le constat qui peut être établi aujourd’hui dans de nombreux pays de l’OCDE et notamment en France où il ne faudrait pas moins de 6 générations pour que les descendants de familles modestes rejoignent la classe moyenne.

 

Quelles solutions les États peuvent-ils mettre en œuvre afin d’assurer l’égalité des chances pour tous les enfants et remettre en marche l’ascenseur social ? Comment sécuriser les trajectoires personnelles des citoyens afin d’éviter que les accidents de la vie aient des conséquences durables ?

 

C’est tout l’enjeu du rapport de l’OCDE « L’ascenseur social en panne ? – Comment promouvoir la mobilité sociale » qui sera publié vendredi 15 juin. Il dresse un état des lieux des inégalités actuelles et émet des recommandations s’agissant des politiques publiques et des filets de sécurité à déployer.

 

 

Cet atelier permettra de décrypter, sous embargo jusqu’au vendredi 15 juin à 11h, les éléments clés du rapport et les solutions envisageables – plus particulièrement pour le cas français.

 

 

Avec

 

Gabriela Ramos, directrice de cabinet, sherpa au G20 et conseillère spéciale auprès du Secrétaire général de l’OCDE

 

Stefano Scarpetta, directeur, direction de l’emploi, du travail et des affaires sociales de l’OCDE

 

Cet atelier sera animé par Françoise Crouigneau, Vice-présidente de l’Ajef

Création d’une chaire de recherche SCOR-PSE sur le risque macroéconomique

UNE CHAIRE AMBITIEUSE

 

L’environnement macroéconomique contemporain est particulièrement incertain : les stratégies monétaires non-conventionnelles, les forts niveaux d’endettements privés et publics, l’aléa politique dans de nombreux pays et l’incertitude concernant l’avenir de la productivité et de la croissance y concourent, de même que les risques d’occurrence de chocs rares mais extrêmes, liés notamment au changement climatique ou à la montée du terrorisme.

Sous la direction scientifique de Gilles Saint-Paul (PSE, ENS) et la direction exécutive de Nicolas Dromel(PSE, CNRS), la nouvelle chaire SCOR-PSE vise à explorer ces évolutions et plus largement à promouvoir le développement et la diffusion de la recherche sur le risque macroéconomique.

 

DES ACTIVITÉS VARIÉES AU SERVICE DE LA RECHERCHE

 

Plusieurs activités sont au programme de la chaire :

  • le développement et la valorisation de travaux de recherche visant à être publiés dans les meilleures revues scientifiques ;
  • l’invitation d’enseignants-chercheurs internationalement reconnus ;
  • la mise en place d’ateliers spécifiques entre les membres de SCOR et de PSE ;
  • la remise d’un prix annuel visant à récompenser un-e jeune chercheur-se pour l’excellence de ses travaux ;
  • l’organisation de séminaires, d’une Lecture et d’une grande conférence annuelles.

>> (Invitation) La conférence inaugurale de la chaire se déroule le 15 juin, de 9h30 à 19h, à PSE. Le programme complet est disponible en ligne. Pour vous inscrire directement : suivre ce lien.

 

CHERCHEURS ASSOCIÉS

 

Florin Bilbiie (PSE, Université Paris 1) | Nuno Coimbra (PSE) | Nicolas Dromel (PSE, CNRS) | Axelle Ferrière (EUI) | Jean-Olivier Hairault (PSE, Université Paris 1) | Jean Imbs (PSE, CNRS) | Gilles Saint-Paul (PSE, ENS) | Jean-Marc Tallon (PSE, CNRS)

 

CONTACT PRESSE : Sylvain Riffé Stern – 01 80 52 17 09 – sylvain.riffepsemail.eu

 


 

Gilles Saint-Paul est professeur à PSE, à l’ENS et à NYU Abu Dhabi. Il est également chercheur associé au CEPR, à l’IZA et au CES-Ifo. Membre du Conseil d’Analyse Economique de 2006 à 2012, il a effectué diverses missions en tant que consultant auprès de plusieurs banques centrales, ministères et institutions internationales. Ces recherches, qui couvrent une grande variété de sujets macroéconomiques – marché du travail, économie politique, bulles et crises, politiques fiscales… – ont été publiées dans les plus grandes revues internationales tel qu’American Economic Review, Journal of Political Economy, Quarterly Journal of Economics notamment. Gilles Saint-Paul est également l’auteur de plusieurs ouvrages.
https://www.parisschoolofeconomics.eu/fr/saint-paul-gilles/

 

Nicolas Dromel est professeur associé à PSE et chercheur au CNRS. Il a participé activement à la chaire Banque de France à PSE (depuis 2010) et au premier partenariat SCOR-PSE (depuis 2013). Depuis 2017, il est également directeur scientifique adjoint du secteur des Sciences de l’Homme et de la Société au Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (DGRI). Il a effectué des séjours académiques à UCLA et NYU Abu Dhabi. Ses travaux portent sur les déterminants de la productivité, les conséquences macroéconomiques des imperfections de marché, ou encore les politiques de stabilisation et ont été publiés dans des revues internationales tel que Review of Economics and Statistics, Labour Economics, Economics Letters notamment.
https://www.parisschoolofeconomics.eu/fr/dromel-nicolas/

 


 

LA FONDATION SCOR POUR LA SCIENCE

La fondation d’entreprise SCOR pour la Science s’inscrit dans l’engagement de long terme du Groupe en faveur de la recherche et de la diffusion de la connaissance sur les risques. Cette implication fait partie de l’identité de SCOR, comme en témoigne sa signature « The Art & Science of Risk ». Le risque est en effet la « matière première » de la réassurance et SCOR entend être à la pointe de l’expertise et de la recherche sur les risques grâce à son vaste réseau d’établissements universitaires et le soutien qu’il accorde à de nombreuses disciplines : mathématiques, actuariat, physique, chimie, géophysique, climatologie, économie, finance, etc.
www.scor.com/fr/la-fondation-dentreprise-scor-pour-la-science

 

PSE – ECOLE D’ECONOMIE DE PARIS

La fondation de coopération scientifique PSE – École d’économie de Paris est le premier centre français et européen de recherche en économie, couvrant un très large éventail thématique et notamment la macroéconomie et l’économie du risque. Elle propose des formations à la pointe de la discipline, en master, doctorat, école d’été ou executive education. PSE a aussi pour mission de renforcer le dialogue entre la recherche académique et le monde socio-économique et noue à cette fin des partenariats privilégiés avec des acteurs économiques.
www.parisschoolofeconomics.eu